Pillages
1650 - Pillage à main armée
5 janvier : Les procureurs d'office des justices du comte d'Anlezy et du marquis de Thianges, contre Jean Héros dit Liégeois, Guillaume Maurin dit La Forêt et François Lamus dit La Ramée, soldats fantassins de la compagnie du sieur Mellon, du régiment de Son Altesse Royale en garnison à Decize, et Jean-Vincent Caliste dit l'Espérance : pillage à main armée sur les grands chemins. Les trois soldats sont remis entre les mains de leurs officiers pour passer en conseil de guerre, sur une lettre de M. de Brissac, commandant la garnison de Decize. Vincent Caliste avait précédemment été condamné aux galères pour vol aux dépens du curé de Biches et délivré par une émeute des compagnons mariniers de Joigny quand on le conduisait à Paris pour que son procès soit révisé par le Parlement.
- Cote 1 B 41
- Texte communiqué par Pierre Volut
- Transcripteur Martine NOËL (discussion) 28 août 2024 à 12:20 (CEST)
Notes et références
Notes